Le sujet du reste à charge des patientsces frais qu’ils doivent assumer après remboursement de l’Assurance maladie et des complémentaires santé – suscite une inquiétude croissante. Une récente enquête de France Assos Santé révèle que ce coût est bien plus élevé qu’estimé, atteignant en moyenne 2 000 euros par an et par personne. Ces chiffres alarmants posent la question : comment les patients peuvent-ils anticiper et mieux gérer ces dépenses ?

Ajoutons à cela un contexte où les tarifs des consultations médicales augmentent à partir du 22 décembre 2024. Cette hausse concerne aussi bien les consultations chez les généralistes que chez les spécialistes, ce qui pourrait alourdir encore davantage le fardeau financier des patients.

Une double réalité : frais visibles et coûts cachés

D’après les chiffres officiels, le reste à charge moyen des Français s’élève à 274 euros par an, un montant calculé sur les frais partiellement remboursés (consultations, hospitalisations, médicaments, etc.). Mais cette évaluation ne prend pas en compte les « coûts cachés » : matériel médical non remboursé, frais de confort, adaptations de domicile, soins alternatifs ou encore produits diététiques.

Ces dépenses représentent 1 557 euros supplémentaires par personne, selon l’enquête. Pour les patients atteints d’affections longue durée (ALD), ce montant grimpe à 1 623 euros par an.

À cela s’ajoutent les soins complémentaires non remboursés, comme ceux des psychologues, ostéopathes ou sophrologues, pour un coût moyen annuel de 310 euros par patient. Ces chiffres montrent à quel point les patients les plus fragiles – personnes en situation de handicap ou souffrant de douleurs chroniques – sont particulièrement touchés.

Des impacts financiers lourds

Plus de 53 % des sondés ont déclaré avoir renoncé à des soins non remboursés au cours de l’année écoulée pour des raisons financières. Ces renoncements concernent souvent des soins essentiels à la qualité de vie, ce qui alourdit indirectement le poids des pathologies sur le long terme.

Dans ce contexte, les récentes annonces gouvernementales sur l’abaissement du niveau de remboursement de l’Assurance maladie risquent d’amplifier cette situation.

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Vers une nécessaire anticipation

Dans un contexte où la santé est désormais la première préoccupation des Français, cette enquête met en lumière la nécessité de renforcer l’accessibilité financière aux soins, que ce soit par des politiques publiques ou des innovations technologiques. Pour les praticiens comme pour les patients, le défi est clair : anticiper et mieux gérer les dépenses pour éviter que la santé ne devienne un luxe.

Source : Retrouvez l’article complet sur le site de BFM TV.